PGR 4 : when it's done, pas avant, et pas comme PGR 3

"[Avec PGR 3] nous étions juste à court de temps. Nous avons vraiment l' impression d'avoir eu plus de temps avec PGR 4. La fois d'avant, nous avons eu le sentiment que le jeu nous avait été arraché."

"[PGR3] était super, mais nous avons eu du mal à trouver le temps pour l'équilibrer comme il fallait à la fin du développement . Cette fois-ci, nous ne laisseront pas cette situation se reproduire. On a été déçus par ça. Avec PGR 2, on a probablement eu le bon timing. Avec PGR 1, on a dû terminer à l'arrache, comme pour le 3. Le 3, vous savez, c'était un titre qui accompagnait la sortie d'une console , donc nous avions beaucoup de pression."

Bizarre fait donc la même analyse que beaucoup d'observateurs : si on devait comparer les PGR, le 3 ressmelberait plutôt au premier , et le 4 s'apparenterait plus au 2. Ca tombe bien, le 2 est communément considéré comme le plus réussi à ce jour.

"Nous avons complètement changé notre mentalité vis-à-vis du développment, continue Woodhouse. Avec un titre de lancement, vous vous heurtez constamment aux problèmes avec le hardware auquel vous n'êtes pas habitué, ce qui ne permet pas d'avoir un jeu prêt à temps. Cette fois-ci [...], le jeu a été prêt très tôt, ce qui nous a permis de penser à d'autres choses qu'au simple fait de devoir le terminer."