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oui enfin le professeur en droit tape en touche sur les points de legalité car sinon ca mettrait a mal recalbox meme
Pour résumer, le point de crispation sur lequel Nintendo aurait apparemment pu remporter un procès, tiens non pas du contournement de DRM en lui même, mais de la méthodologie de déchiffrement de leur propre DRM que Nintendo aurait breveté.
Bien que les brevets logiciels n'aient aucun valeur en France et une bonne partie de l'UE, c'est loin d'être le cas aux USA et Japon où ce dernier est sacralisé. Et il est interdit de reproduire les méthodologies logicielles décrites dans ce type de brevets, sans l'accord de leur détenteur.
Si Tropic Haze avait été basé dans un pays où ils n'ont aucune valeur, il n'y aurait eu aucun problème.
L'affaire de TOTK n'était qu'un argument indirect pour donner du poids à l'argumentaire de Nintendo en matière de parasitisme.